Le Sanctuaire Notre-Dame de la Clue transporte la preuve irréfutable de ce que j’ai déjà présenté dans mon article sur la tombe Talpiot, à savoir la cannibalisation des escrocs, Yoshué (Jésus) et ses complices. Il montre aussi que le corps de Mara (Marie) fut le seul à ne pas être consommé, pour des raisons de pudeur, mais abandonné dans la cave. Les liquidateurs avaient faim, après avoir été endormis à l’opium pendant la période permettant à Yoshué de revenir “avec des plaies” et d’affirmer devant eux “avoir été crucifié avant d’avoir été ramené à la vie”… ont passé à l’épée et étranglé les cinq brigands, avant de manger les premiers corps et de mettre les restes dans des jarres. Mais il est certain que la seule femme du groupe ne fut pas mangée avant d’être mise dans sa caisse de roche, contrairement aux quatre autres.
De la paroi dans laquelle la tombe utilisée (avec une note évidente dessus, “zéro sur vingt, trous du cul”) à la falaise derrière St Auban, un effet de transfert grâce au magmatisme, à sa production de photons de fission, et à l’attraction du trou noir interne au coeur de la Terre, permet de temps en temps, très rarement (permettait, puisque la tombe a ensuite été ouverte) un transfert de formes à grande distance. Ce même effet, avec les nano trous noirs inter-vallées, explique les phénomènes fantômatiques, à partir des geôles, en Ecosse, notamment. L’Ecosse en effet a un peu de magmatisme souterrain grâce au granite et quelques vallées assez abruptes pour que de temps en temps des antigravitons puissent y stationner (grâce à la position relativement au nord faisant que la position peu élevée de la Lune et du Soleil dans le ciel permettent l’installation relativement fréquente d’antigravitons entre ces petites montagnes). C’est le même phénomène, à plus grande distance, s’appuyant sur le trou noir du centre de la Terre qui permet le transfert.

Les données sculptuaires du lieu de culte de Notre Dame de la Clue démontrent précisément l’argument. Prouvant une nouvelle fois l’importance du respect essentiel de l’art religieux.


Les traces noires dans le trou lui-même en forme de vase sont la première indication de transfert par pression gamma des formes des restes seminécrosés de corps humains, par pression magmatique grâce au magmatisme alpin, ici stimulé par l’hydratation de la rivière de la clue en contrebas.
L’art en mosaïque et la sculpture montrent précisément le phénomène. L’une des tombes en forme de caisse, dans laquelle Mara fut laissée morte, mais non mangée, est apparue du fait de l’énergie de l’éruption du Krakatoa en 1883, la pression tectonique activant le magmatisme en Israël, produisant dans la cave des photons poussés par ce magmatisme dirigé (avec cette pression tectonique venant de l’Est), en partie tirés vers le bas par le trou noir du centre de la Terre mais quand même capables de voyager vers l’Ouest dans l’axe orienté par l’épicentre, le Krakatoa. Cet effet de “quantum tunnelling” est de même nature que celui qui explique la formation de la Tête de Femme (détaillé dans mon précédent article scientifique sur le volcanisme et la paléontologie sur la Côte d’Azur). Le corps de Mara a visiblement été sorti de sa caisse de roche dans la tombe Talpiot par l’effet d’une petite explosion nucléaire stimulée par des entrées d’eau magmatiques dans le fond de la cave. Il est certain que Mara, mal baisée, avait pas mal d’émetteurs alpha dans son corps au moment de sa mort (quelle idée d’aller comploter avec des homos…) et la pression photonique du sous-sol contribua à faire jaillir son corps de sa caisse par les bras. Les oscillations du sol lors de la vibration tectonique de grande ampleur (la suite de l’onde de choc de l’éruption du Krakatoa) ouvrant un chenal temporaire au déplacement à grande distance des photons de cette petite explosion nucléaire naturelle souterraine.

L’effet de quantum tunnelling est confirmé par un autre moyen, la tradition a en effet attribué à une montagne de Gréolières, non loin de St Auban, le nom de sommet de Jérusalem.

Ce sommet, d’ailleurs, se trouve sur l’axe.
La structure de divers calvaires en Bretagne évoque aussi cette réalité des corps en caisse avec le saut lié au magmatisme représentée de façon statuaire. Le calvaire de Tronoën, par exemple, évoque bien un effet de passage de lumière affecté par la composante très majoritairement en atomes shurikens du sol (“effet cliquetis”, apparition qui monte puis redescend progressivement comme portée par des rouages mécaniques). C’est le même phénomène mais à plus grande distance et donc avec une résolution plus faible. De même l’activité volcanique dans l’océan Indien et en Afrique de l’Est explique nécessairement une très large partie des apparitions mystiques en Europe, donnant un sens supplémentaire à l’apparition par mécanisme de “boule de feu” évoqué dans mon premier article scientifique sur le sujet.
