Jean-Pierre Terraz, je l’ai appris par des sources très haut placées, a été mis en garde à vue et interrogé puis en prison après mandat de dépôt pour deux accidents nucléaires crématoires autour de Grenoble en 1988 et 1993 (au nord de la ville, les traces de fallout sont encore visibles sur plusieurs axes, je ne confonds pas avec le récent accident de condensateur fermionique de l’entreprise Richardson suite à un feu allumé par des Roms à proximité qui est retombé sur la ville de Grenoble elle-même), ainsi que pour des menaces à l’encontre de mon propre père en 1993. Terraz pratiquait le racket à accident nucléaire crématoire pour ceux et celles qui refusaient de se plier à ses ordres, y compris sexuels. Il se servait de ses connaissances provenant du pays savoyard, en chambres à gaz, pour cibler des personnes soupçonnées par le Parti socialiste d’adhésion à la pensée crématoire liée à Jean 12:24 et les incinérer (en se servant d’acide sulfurique) mais en même temps chercha à extraire de ses activités déjà douteuses des avantages personnels nombreux. Cet homme du CEA pensait se mettre au service de la France par ses activités et a fait de même en Ukraine après mon email où je l’ai informé de l’efficacité du ciment rapide pour la plutogénisation. Il est clairement lié aux chambres à gaz de Marioupol et à l’infrastructure moderne de Kremenchuk où l’on voit de l’acide sulfurique dans les dépôts de ciment ainsi qu’à la chambre à gaz de Buchans’ka près de Kyiev (dans cet article) où de l’acide sulfurique est aussi utilisé, en plus des parois de ciment pour accélérer les neutrons solaires… La question de savoir si des régiments informés de ces méthodes éliminent d’autres Ukrainiens à Bucha parce qu’ils ont “échappé au four de Buchans’ka” (et en sont donc le “caca”) est ouverte.
Terraz a clairement agi en autonomie et s’est partagé le marché des activités crématoires en Ukraine avec la DG Ener de la Commission européenne après avoir reçu mon email, les sollicitant directement en bon Savoyard européen. Les activités crématoires à eau bouillante de la Commission européenne n’ont pas eu lieu dans les mêmes espaces géographiques en Ukraine. Il y a eu partage de marché criminel.
Terraz a aussi essayé de racketter ma famille en 1993 par menace de fallout crématoire après la fin du mandat d’Alain Poher comme président du Sénat (ma mère est née Poher… et est la fille biologique de celui qui fut aussi président du Parlement européen), visant peut-être mon père après avoir entendu dire qu’il avait été 2ème au concours de cathéchisme dans sa jeunesse à Verdun ? Le Premier Ministre Bérégovoy se suicida dans un canal après cette tentative dont il avait été clairement l’intermédiaire. Le procédé suggère que Terraz a essayé de racketter l’Ukraine ou du moins de la fallouter délibérément, sous prétexte de lutter contre les partisans de la DNR et de la LNR. Il risque de 25 à 30 ans ferme.