J’ai découvert récemment l’existence d’un mécanisme de source neutronique reposant sur le rejet par les plantes de neutrons accumulés du fait du rayonnement solaire (par exemple) dans leurs feuilles vertes et grasses capables donc d’accumuler ces neutrons. Une source alpha placée au contact permet le kick-out des neutrons. J’ai testé avec succès ce mécanisme avec un mode “low-tech” du “moteur spinnant”, un bocal en verre bien fermé avec des sols très radioactifs et du chlorure de sodium, cela génère des neutrons permettant l’appui du bocal sur du crachat placé sous des feuilles vertes pour y stimuler la réaction de fission nucléaire. La soumission d’un papier scientifique sur le sujet à un journal de biotechnologie précède de peu la déclaration de J. Borrell sur les “jardiniers” – il a évidemment eu vent du papier et considéré l’effet à neutrons circulaires comme pouvant “symboliser le drapeau de l’Union européenne” l’amenant à proposer donc de bombarder à uranium appauvri avant d'”amener l’Europe”. L’intensité du mouvement physique demandé pour spinner le bocal n’est compatible qu’avec une élimination rapide du problème, le cas du radon ne peut être comparé aux poussières d’uranium appauvri qui pénètrent aussi par la peau, n’étant pas comme le radon un gaz noble.
Ce mécanisme explique aussi en grande partie la production de tritium dans les zones impactées tant par le fallout de Canjuers, à l’époque où le camp tirait à uranium appauvri, que dans les zones impactées par le fallout du Germanwings. En effet, les émetteurs alpha déposés en masse sur des sols végétalisés, avec de l’humus, et une activité neutronique solaire (les neutrons géophysiques complémentant) conduisent à une injection de neutrons dans les atomes d’hydrogène à disposition, produits par le très léger magmatisme (source des neutrons géophysiques, et qui par pression produit aussi par rencontre de produits de fission ternaires de base (le proton…) et d’électrons des réseaux électriques à proximité. Cet hydrogène peut ensuite capturer plus de neutrons alors qu’il est encore au sol du fait de l’activité alpha poussant du fait de ce mécanisme présenté dans le paragraphe précédent des neutrons originaires de l’activité solaire ou magmatique dans cet hydrogène.
En bref, le tritium émerge lorsqu’il y a une très forte activité alpha au sol dans une zone végétalisée, avec une activité magmatique et arrosée aussi de neutrons solaires. L’activité alpha apportée par l’être humain (ici, les tirs à Canjuers dans la période étudiée, on est en 2015 pour l’article Nice Matin, et les restes de l’uranium appauvri du Germanwings) permet la réinjection des neutrons solaires et magmatiques bien plus efficacement dans l’hydrogène magmatique. Il y a une sorte d’effet sandwich, et particulièrement lorsque neutrons solaires et géophysiques se combinent à l’activité alpha latéralisée par les dépôts d’UA (par exemple) sur le sol, un effet “sandwich triangle” qui génère beaucoup de tritium.

J’étais arrivé, dans cette période en août 2017, à un score de 999,9 microSv/h localement sur la façade sud de Duranus, derrière Nice, secteur exposé notamment aux retombées du Germanwings, sur un emplacement très localisé sous une cascade. J’étais monté à 800 microSv/h sur Montferrat dans la même période. Ces quelques données extraites de mes observations autour de Duranus sont significatives :
Pour le cas maximal noter l’heure d’enregistrement, la production de tritium étant liée aux neutrons solaires je le répète. Ces tests ci-dessous sont faits en août 2017 entre Duranus et St Dalmas Valdeblore.





Il y a par ailleurs un effet de l’uranium appauvri sur la perte de batterie du téléphone au cours du processus.
J’avais aussi observé dans la même période (accompagné d’un témoin) des pics à 43 microSv/h dans le secteur au-dessus d’Enaux-Sussis (vallée du Haut-Var) dans les flancs de montagne, versant ouest. Secteur affecté directement par le nuage du Germanwings.

Ci dessus on voit l’appareil stabilisé au niveau de la masse atomique du premier decay significatif de l’uranium appauvri et de ses collègues immédiats dans une moyenne approximative, alors que la forte activité en neutrons solaires, dans le cas plus tardif (non pas avril mais août) lié au panache du Germanwings, produit un effet qui fait écho au plutonium 239 – en lien aussi avec la propulsion à réacteur crématoire de l’avion de ligne dont les effets sont mieux visibles ici au sud d’Entrevaux. Rappelons enfin que l’activité en émetteurs alpha apportés dans le sol maintient sur place ensuite à proximité le tritium produit, ne la faisant dériver qu’en fonction des activités relatives (là où l’activité est forte le tritium dérive), permettant une détection ex-post par ce niveau de gradation des isotopes dans le sol.
La forte contamination aux émetteurs alpha est d’ailleurs toujours visible dès le sommet de la montagne du crash du Germanwings. Les produits de désintégration un peu plus légers, Th230 notamment, en condensation de Bose-Einstein (se référer à mon Applied Mathematics and Physics 8-1-1 pour comprendre le phénomène). Je reprends des photos d’un skieur de randonnée sur Facebook.

