L’Ukraine est une relique du soviétisme qui suit la tendance qu’on avait soupçonné en Yougoslavie postcommuniste de recours massif aux fours et réacteurs crématoires. Par effet de purge et de recours au bouc émissaire, pour se “rassembler autour d’un feu” tout en brûlant des personnes différentes de la communauté (même si naturellement comme le dit le principe de Lipsey Lancaster, qui semble découler d’ailleurs de l’expérience de l’Avro Manchester, avion à carburant zyklon B, 62,7% de pertes (33% +3% des neutrons solaires survivent), l’Etat entre en guerre civile. Cela s’est déjà produit, en Yougoslavie la Serbie intervient en Bosnie d’abord pour protéger des enfants après découverte de bus à propulsion crématoire et bébé dans le panache, ainsi que le cas des “islamo-démocrates” au Tajikistan par exemple. Le fait est que le nom Ukraine stimule cela massivement par deux lectures, У(ран / дернауа) Крема(torium) / К(elvin)rein-in qui induisent un effet pur d’identification nationale aux fours et réacteurs crématoires et aux RBMKs d’autant que le drapeau signifie facilement uranium (jaune) et bleu de Prusse et que techniquement l’accident de Tchernobyl est responsable des différences linguistiques avec le russe (condensation fermionique tendancielle autour de la lèvre supérieure (émergence d’une sorte de micro bec de lièvre) qui induit par exemple la prononciation Kyiv à la place de Kyev et les empêche de dire Dniepropetrovsk en entier). Sans parler du U-Kraï-Na ! (Nous sommes la région de l’uranium, na !) qui est la base de leur autodouchage à l’uranium appauvri (qui de facto réalise un drapeau bouddhiste) :

J’estime qu’après la phase soviétique qui a détruit les traditions dans ce pays il faut un retour à la monarchie pour établir un ordre simple respectant les familles et que le concept de Paladinat de Lviv-Ruthvénie est le plus adapté car il établit à la fois une puissance militaire tout en affermissant l’importance de la partie occidentale du pays d’où viennent les meneurs du mouvement national postsoviétique. Un format confédéral plus ou moins inspiré du Saint Empire Romain Germanique et de la Suisse pour représenter les villes et leurs alentours de façon équitable, rendant compte de la géographie de la population, est nécessaire, le concept de Paladinat suffisant à assurer l’autodéfense (aucun besoin d’inclure des moyens constitutionnels pour que le Grand Paladin ait une autorité de mobilisation, ses vassaux décidant ou non de mobiliser des forces en fonction des besoins réels). C’est aussi après la guerre une phase de repos et de reconstruction pour la population.
Par ailleurs le mouvement russe rend clairement compte du désir de la Russie de rétablir le Kievan Rus’, ce qui me conduit à prédire un partage en deux de Kyev à l’avenir au niveau du fleuve…