Le groupe Azov est un groupe sismondiste, adhérant globalement au néonazisme par respect de ceux qui ont pendant une époque “sauvé l’Ukraine de Staline” mais qui est aussi un groupe placé sous la croix orthodoxe, de l’éparchie ukrainienne. Le groupe Azov a planifié et conçu l’accident du Germanwings dans les Alpes du Sud en mars 2015 en collaboration avec quelques hitlériens à diverses fins, dont celle de me faire “plaisir” en répandant de l’uranium appauvri sur une région très catholique et dont les dirigeants politiques sont essentiellement d’un parti majoritairement pro-uranium appauvri (l’UMP à l’époque). Le groupe Azov s’est appuyé sur mes dires lors d’une petite réunion de travail au bureau de la Région PACA à Bruxelles où j’ai évoqué la surreprésentation des cantons des montagnes des Alpes Maritimes au Conseil général (nombre d’électeurs par conseiller cantonal beaucoup plus faible que sur la côte), et sur le fait qu’en février 2015 j’ai commencé à militer très activement contre les armes à uranium appauvri, pour procéder à une attaque terroriste “de sensibilisation aux méfaits de l’uranium appauvri” sur le secteur en question, considérant les ballasts en uranium appauvri de l’avion choisi. En même temps le fait de sacrifier des Allemands en goguette dans l’opération correspondait pleinement à l’idéologie sismondiste de ces militants (Sismondi exprime très clairement de la germanophobie dans certains écrits).
Ces militants, d’Azov, voient la coïncidence de formes entre la France et l’Ukraine, ainsi que notre histoire commune, le peuple franc étant clairement originaire de la région d’Ivano-Frankivsk (“là d’où viennent les Francs”) et le roi Hughes Capet ayant choisi une dame originaire de Kiev comme épouse. Mais, lorsque l’on superpose les deux cartes, pour que la correspondance soit parfaite, il faut faire un trou béant au niveau de la mer d’Azov, qui correspond notamment au département 04 et au nord est des Alpes Maritimes ainsi qu’à une partie des Hautes Alpes, côté Ubaye. Bien sûr les militants radicaux entretiennent l’homologie et certains ont évidemment voulu la construire jusqu’au bout en plongeant “l’équivalent français de la mer d’Azov” dans un bain d’uranium appauvri… à défaut d’eau. En ce qui concerne la région PACA à Bruxelles son ex directrice Anna Lisa Boni avait clairement pour objectif de reconstituer le Piémont-Sardaigne (elle est sarde) et a un cousin, Eric N. Boni, qui est haut responsable chez Ashland Global Holdings, firme capable de faire du “repo” sur l’UA via fours crématoires mobiles (sols au sodium par exemple et autres technologies permettant de déployer un four dans une pièce privée), on trouve aussi dans cette firme le Dr Osama Musa qui est garant des technologies (très utilisées au Pakistan…) de la firme et a certainement joué un rôle clef dans le crash du Germanwings. En d’autres termes organiser une révolution sécessionniste avec des fours crématoires dans le comté de Nice… en jouant à “gazer les Français”.
Un tel projet ne peut aussi que satisfaire à la superstition chinoise traditionnelle selon laquelle “le 4 est le chiffre de la mort”. Rappelons cependant qu’une fois mon article sur le coronavirus et ses origines avec la mine d’uranium tunnel du P4 de Wuhan publié (article montrant très implicitement comment des communistes de la Côte d’Azur s’estimant “sous occupation nazie” après le panache d’uranium appauvri du Germanwings ont été parmi les artisans de la construction d’une “vengeance” via le covid19) un avion chinois s’est à son tour crashé et qu’il n’est donc pas impossible de penser qu’une mesure de rétorsion volontaire contre les autorités chinoises ait déjà été prise, même si l’hypothèse concurrente d’une expérience de vol avec moteur au plutonium dans du corps humain incinéré reste dominante à mon avis considérant le profil du crash (“clog de cendres” dans le moteur). Il est utile ici d’évoquer à nouveau la coopération post-soviétique entre l’Ukraine et la Chine communiste, sur des technologies d’incinération de corps humains notamment. Le fait que Taiwan utilise aussi des fours crématoires me conduit à rester neutre en ce qui concerne le conflit en préparation dans cette zone.
Il est vrai aussi qu’en ce qui concerne la superstition l’héraldique traditionnelle d’Allos (ailes et os sur fond rouge) représente une autre incitation. Mais voyons aussi comment s’est comporté le pilote. Le “parking du Jésus” représente la cible théorique de notre “héros” qui voit dans l’intervalle la cime des 3 Evêchés. Il essaye de s’y garer symboliquement avec son avion de ligne. En passant par la cime des 3 Evêchés qui rappelle la crucifixion, Jésus au centre, deux brigands autour. De plus l’arrivée en descente diagonale lui rappelle nécessairement le trait en diagonale de la croix orthodoxe. Il installe quelque part sa propre croix d’une façon brutale tout en effectuant de la sensibilisation sur les effets de l’uranium appauvri, au prix de sa vie (et de celle de ses passagers). Il existe d’ailleurs un tag sur une sorte de petite maisonnette abandonnée au bord de la route au nord de St André des Alpes qui évoque par le mot de jargon “choofy” (comme “enchufar”, se brancher, en espagnol) l’arrivée du trait diagonal sur la croix catholique.

Le problème que n’a pas considéré notre militant, tout comme les militants d’Al Qaida répandant de l’uranium appauvri sur New York et dans le Pentagone avec les ballasts de leurs propres avions (en mettant à part le ciblage délibéré des Juifs de Brooklyn), est qu’un cerveau qui est sous l’effet de la douleur du fait de l’action d’un tiers est bien incapable de réfléchir à “sa propre responsabilité” et ne pourra s’empêcher de se contenter de condamner le tiers qui lui a infligé cette douleur. Remplir le Pentagone d’uranium appauvri a-t-il réduit ou augmenté l’emploi d’uranium appauvri par ledit Pentagone ? Même commentaire pour les populations “bien installées” des Alpes Maritimes. Sans parler de l’inefficacité totale en ce qui concerne la présentation de la croix orthodoxe ici associée à une constellation d’épines symboliques incorporées dans les corps de tous les habitant-es de la région.
J’ai beaucoup apprécié nombre de morceaux du groupe de métal ukrainien Ignea, mais le morceau Bosorkun (dont je mets l’illustration ci dessous) montre aussi la tentative sismondiste de présenter ce crash comme un “vent de Dieu”. Ce groupe a certainement eu connaissance du pilote et l’a même certainement motivé. Ceci se confirme en observant l’autre titre “We are the eaters of the sun” dans le même album, co-écrit avec Ersedu… “Verse-DU”. L’uranium appauvri apporte l’obscurité.


De nombreux mercenaires étrangers sont brûlés / incinérés dans des coeurs nucléaires en Ukraine, en plus des victimes notamment russophones du régime et des nouveaux pogroms nucléaires de Khmelnitsky dont je vais donner un autre exemple ci-dessous. De nouvelles informations de soldats de la LNR vient encore de le confirmer implicitement (ils parlent de corps de mercenaires brûlés après aspersion de pétrole par les militants ukrainiens, Life.ru parlait des “crématoires de Kiev”… les soldats de la LNR n’ont pas nécessairement les mains très propres eux aussi et de ce fait les informations qu’ils fournissent sont probablement en partie auto-censurées). Les militants Azov et les autres néonationalistes ukrainiens ont entre beaucoup d’autres victimes tué des mercenaires allemands (“nemae”, “nemetsi réduits à l’état de nems”) dans un coeur crématoire utilisant à la fois du ciment et du pétrole, aux fins de renforcer le complexe “bio” au cas où, dans l’intérêt d’un pays ayant besoin d’alternatives au pétrole russe (en décourageant la vente de pétrole russe chez ses voisins européens par ce moyen sordide). Les têtes des corps déchiquetés sont difficiles à voir mais apparaissent dans les débris, recouvertes de ce mélange, et le militant s’explique à côté (“jartés” signifie qu’ils ont été expulsés de la “jar”, le coeur primitif à pression. Le pétrole ralentit trop les neutrons ce qui n’est pas compatible avec la plutogénisation sur le long terme).

Ashland exporte d’ailleurs pas mal de matériel en Ukraine. Des futs d’acide benzoïque au sodium font partie de la plutogénisation à corps humains et l’acide sorbique au potassium semble être utilisé pour nettoyer, du methyl etylparabène phénoxyethanol qui est utilisé vraisemblablement pour désorienter brutalement le cerveau lors des opérations de capture avant gazage. Données seair.co.in.
En ce qui concerne Ashland l’argument capitaliste privé est que ce type de firme aide au développement dans des contextes d’une grande inégalité initiale où les travailleurs sont soupçonnés de pouvoir trahir (islamisme, communisme, typiquement). Ce système peut reposer sur une somme de contrats privés uniquement. Le risque réel de détournement est néanmoins évident. Par ailleurs la combinaison avec les bombardements à uranium appauvri et l’imposition de clauses ISDS protégeant les investisseurs se servant de ces bombardements pose des questions fondamentales en termes de justice. Ashland s’est installée à Biot juste au début des bombardements à uranium appauvri en ex Yougoslavie, en 1993. Le retour de traités inégaux pires que ceux du 19ème siècle est une réalité avec ces méthodes. Par ailleurs l’observation du Pakistan montre que la croissance économique n’est pas réellement possible avec de tels systèmes ultraautoritaires qui nourrissent en retour le jihadisme au nom de la charité dans le Coran (par exemple). Le fait que ce soit des militants LNR qui aient montré au monde les premiers un sol de pièce piégée au Natrosol dans Azovstal (cas particulier lié à la peer review de mon manuscrit sur les fours crématoires où j’ai affirmé que même au sodium ce n’est pas aussi performant qu’avec des matériaux non organiques… un peer reviewer a certainement voulu tester) n’a pu que les confirmer dans leur thèse léniniste que l’impérialisme est le stade suprême du capitalisme… thèse qui oublie cependant que ces entreprises sont “crony” car elles dépendent des bombardements à uranium appauvri opérés par les forces militaires d’Etat pour leurs grands marchés.
