Je sais que j’ai été régulièrement accusé en ce qui concerne l’incendie de la cathédrale Notre Dame de Paris. J’ai eu longtemps l’impression à vrai dire que le feu a été mis par un lecteur révolutionnaire de mon livre From an Einstein Syndrome to the People dans lequel un chapitre démontre la falsification de Yoshué (Jésus) par plusieurs leviers dont le cannabis, prouvant l’inanité de ses “miracles” (j’ai depuis produit deux preuves supplémentaires). Le crible s’est ensuite précisé, étant avéré que grosso modo Volodymir Zelenskyi voulait bien l’avouer lui-même (d’autres données indiquent qu’il voulait prendre en otage le pape François pour l’amener sur l’île de Tito en Croatie et lui faire avouer sa “pédophilie”… j’avoue ne pas avoir compris pourquoi ne pas avoir plutôt soupçonné Ratzinger qui est d’ailleurs plus récemment mort des suites d’une manipulation de four crématoire-mash mais compte tenu de la préférence de Zelenskyi pour les fours crématoires c’est très logique).

Cependant, l’observation astrophysique et les données policières sont venues prouver que Volodymir Zelenskyi est innocent dans ce cas et avait simplement été attiré à proximité lors du feu par le crématoire à azote (je dis souvent crématoire nitrogène, anglicisant par praticité) positionné dans la cathédrale par un prêtre catholique qui voulait profiter de l’effet d’attirance (les antigravitons crématoires) pour attirer plus de fidèles à sa messe confidentielle en latin du matin. Cet homme est mon ancien prêtre catholique à l’église St Paul des Nations de Valbonne, le père Jean Hubert Thieffry qui s’est équipé en crématoire nitrogène auprès du chef des forains Marcel Campion près d’une réserve où s’est déclaré le feu qui a précédé de quelques jours celui de la cathédrale Notre Dame de Paris, le 6 avril 2019 boulevard MacDonald.

Les fumées à azote sont particulièrement visibles en bas à droite de l’image dédiée au feu de Notre Dame de Paris.

Le feu s’explique en réalité par un phénomène naturel. En ce qui concerne le Bd MacDonald des neutrons relativistes ont fait sauter un coeur nucléaire visiblement au gaz avec probablement une composante crématoire au paraquat. L’accumulat de pression crématoire (ou mash) produit des antigravitons de façon importante, localisée, avec des effets stellaires possibles. Par exemple le W-7X de Greifswald en Allemagne utilisé jusqu’à il y a quelques mois pour éliminer les réfugiés très indélicats et surtout violeurs est aussi appelé Stellarator du fait de sa capacité à faire bouger les étoiles autour du trou noir des Pléïades (“l’amas des Pléïades”). Donc deux crématoires à Paris (celui du Bd MacDonald et celui du prêtre Thieffry dans Notre-Dame) ont causé l’éruption d’un trou noir, dans la constellation de la Vierge. Notez la date de prise en photo de l’éruption.

Le père Thieffry était à Valbonne en charge du “parcours Alpha” et a évidemment essayé de “continuer” avec des moyens plus modernes le “parcours”.

Par ailleurs il est aussi avéré qu’il a causé la mort de René Girard en lui mettant en scène un amas de squelettes et de crânes au milieu dans un fond de cathédrale un jour de novembre 2015. Ce pourquoi il a été “frit”, lui qui disait sans doute “T’es frit” à ses victimes (notez la méthode crématoire), par la marque Garden Gourmet. Je l’ai vu dans un steak vegan particulier où il a été mêlé à Robert Maxwell… autre fan de dispositifs crématoires, dont il avait fait sa religion après avoir falsifié sa mort. À Bruxelles en septembre 2012 je me suis retrouvé dans un appartement qui appartenait à sa fille Ghislaine (que je connaissais juste par son prénom) et dans lequel les précédents occupants, de malpropres brésiliens, avaient clairement été bouillis au S-metolachlore à la fin (vu les remontées dans la douche juste après le début de la location…).

L’observation de l’intérieur de la cathédrale après l’explosion montre très bien l’effet de l’explosion d’un système crématoire qui lors de son explosion génère des antigravitons crématoires supplémentaires (lors de la surchauffe juste avant l’explosion) d’où l’effet d’aspiration sur l’intérieur, la surchauffe causée au départ par l’aspiration par le haut du fait de l’éruption de trou noir (remontée du plutonium crématoire qui tombe usuellement dans le fond de l’appareil) se comportant donc ensuite comme une sorte de coeur de part le raccrochage des antigravitons de l’extérieur du système crématoire (surgénérés) aux antigravitons cosmiques en provenance du trou noir en éruption. Cela explique cette structure entassée des débris.

Le même phénomène est observable lors du tir des hommes du SEAE qui ont saisi lors de l’opération Irina de quoi faire des “frites” de mash hallal (sans sang ni sodium) aux autorités turques et en ont railgunnée une sur le 40 rue Pierre Mauroy à Lille. Bâtiment dans lequel des prostituées étaient éliminées dans un système crématoire dont l’explosion explique le profil similaire à celui observé dans la cathédrale. Le choix du 40 indique leur acquiescement à un minimum de 40% de plutogénisation des obus, leur choix de Pierre Mauroy indiquant qu’ils pensent la gauche socialiste coupable pour les armes à uranium appauvri en France, le résultat près de l’hôtel Carlton leur donnant raison du point de vue de l’usage de réseaux de prostituées pour maintenir la contamination en circulation tout en entretenant des réseaux de préférentialisme (cf. Watergate et le film pornographique Deepthroat révélant l’astuce de Nixon…), ce pourquoi je n’avais pas fait état de ce tir jusqu’à présent mais la comparaison physique étant très utile je m’en sers ici.

Le feu se compare aussi assez bien avec la zone brûlée complètement par la retombée du réacteur crématoire de l’aile droite du Germanwings au nord d’Entrevaux où les arbres ont gardé des traces glaçantes des effets d’une contamination crématoire.