Je pense certain que la présence de nanoparticules radioactives (descendant par exemple du radon) dans le corps humain peut entraîner des mutations non seulement chez les cellules humaines, mais aussi chez les virus et micro-organismes que le corps humain héberge. Par exemple, si un virus se trouve dans le champ de tir d’une particule alpha, il est tout à fait possible qu’il soit simplement détruit, mais aussi possible qu’il en réchappe partiellement et qu’il mute (si l’ARN viral est simplement endommagé, cela revient à une mutation). Certaines de ces mutations peuvent être viables, prenons par exemple le cas de Zika au Brésil, j’émets l’hypothèse d’un lien entre la mutation et la forte radioactivité naturelle du pays. La présence d’uranium en quantités importantes dans certains pays d’Afrique équatoriale (Cameroun, Gabon par exemple) pourrait aussi certainement expliquer la haute fréquence des mutations de virus dans ces régions. Un exemple évident : l’apparition du bacille de la Peste Bubonique en Mongolie (très forte radioactivité naturelle) vers 1347 ; le virus de la Grippe espagnole (plus de 50 millions de morts, voire 100 millions selon des estimations récentes) serait quant à lui apparu, selon l’Institut Pasteur, en Chine ; l’hypothèse a récemment été remise en cause mais semble à mes yeux crédible compte tenu de la forte densité humaine et animale (élevage…) et de la richesse en minerai d’uranium du pays. Comment peut apparaître un virus à la fois aussi mortel et contagieux sans mutation causée par la radioactivité ? Le virus n’a aucun intérêt à annihiler son porteur.
Il est naturellement évident que nous avons par conséquent collectivement intérêt à la diffusion de bonnes pratiques en ce qui concerne l’exposition aux radioéléments naturels (sans même parler des poussières d’uranium des bombes atomiques ou des obus à “uranium appauvri”) : purger l’eau potable de l’uranium et de ses descendants, contenir le radon, éviter les engrais phosphatés, etc.
Pour Zika on peut imaginer un processus un peu complexe, lié par exemple à un échange de patrimoine génétique avec un humain souffrant de la malformation que le virus transmet désormais. Un événement statistiquement rare, très rare mais plus probable dans une région à forte radioactivité naturelle, où en plus les moustiques prolifèrent. Malheureusement, dans les régions où les singes, par exemple, constituent des réservoirs de virus, l’exposition de ces animaux aux nanoparticules constitue également un risque.
On peut envisager les risques liés par exemple à des bombardements à uranium “appauvri” en régions tropicales (le Venezuela ?) et l’apparition de plusieurs autres virus porteurs de ces mutations qui prolifèrent aujourd’hui en Irak (attention aux yeux).