I want first to remind that banning abortion is impossible – chasing women wherever they go to do what can happen behind closed doors is not feasible, that’s one example among sooooo many others of Ludwig von Mises’ socialist calculation theorem. Which is why I even took in the past a stance in favour of the legalization of abortion in Ireland.
HOWEVER : abortion clearly constructs an image of the woman as weak and incapable ; it legitimates date rape.
Women who self repress the bisexuality (universally innate) feel a need to seek encounters so as to feel legitimized as “heterosexuals”, go in bars, lose control on themselves a little bit and meet men who, for the same reason of wanting to feel legitimized as “heterosexuals”, cling on them, pressure them and eventually, go too far.
The existence of abortion rights legitimizes ex-post that rape culture. “You see ladies – you’ve been able to abort – so nothing to see here”.
Women who go to marches for women’s rights are mostly motivated by the resurfacing of their latent homosexual needs – it is about fighting together with other women. And generally against scapegoats – for instance against private companies who would oppress the rights of women, or for precise things in public action like “getting free tampons”.
As a general rule, scapegoats are always what resemble the naturalness those who self repress reject in themselves. So, animals, nature, the free market, bisexuals, “homos” for those who self define as “heteros”…
It has something of an eternal cycle, as the more those women who go in marches to feel a spirit of togetherness that comes from the resurfacing of their repressed homosexuality campaign for abortion rights, the more men who also self repress and storytell their own “heterosexuality” around (to other men with whom they want to stay without feeling “homo”) will feel legitimized to rape and pressure ex-post to make sure their crimes stay in the dark.
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Interdire l’avortement est absurde. On ne peut pourchasser les femmes de partout pour surveiller ce qu’elles font avec des aiguilles à tricoter. C’est un exemple typique du dilemme du calcul socialiste théorisé par Ludwig von Mises.
Mais l’avortement construit une image de la femme faible et incapable, et légitime la culture du viol.
Des femmes qui refoulent la bisexualité naturelle vont dans des bars pour se rassurer sur leur “hétérosexualité”, se laissent un petit peu aller, rencontrent des hommes dans le même cas, qui vont les mettre sous pression, et probablement pousser au-delà du consentement de ces femmes. L’existence de droits à l’avortement est une légitimation pour ces hommes. “Vous voyez, mesdames, vous pouvez circuler… pas de bébé, pas de dommages”.
Les femmes qui vont dans des manifestations pour leurs “droits” sont d’abord motivées par le fait de partager un esprit avec d’autres femmes – il s’agit bien sûr d’un retour latent de l’homosexualité refoulée. Ces manifestations se focalisent toujours sur quelques boucs émissaires : en général des entreprises privées, ou alors la demande de droits précis, comme des serviettes hygiéniques gratuites.
D’une manière générale, les boucs émissaires sont ce qui ressemble à la nature, à la spontanéité que les personnes qui refoulent rejettent en elles et en eux : les animaux, le marché libre, les bisexuels, les “homos” pour ceux qui se définissent comme “hétéros”, la nature…
Il y a quelque chose comme un cycle éternel avec des femmes qui vont dans des manifestations pour “l’esprit de corps” du fait de leur besoins homosexuels insatisfaits, des hommes qui eux aussi refoulent leurs besoins homosexuels naturels et cherchent à “forcer l’hétérosexualité” dans le seul but d’avoir des sujets de conversation dans des groupes d’hommes (et échapper au retour de la vérité de la bisexualité), qui se sentent d’ailleurs légitimés par le droit à l’avortement, donc des viols et des pressions ex-post pour passer ces crimes sous silence…