The repressed homosexuals are enemies of freedom and vice versa – Les homosexuels refoulés sont des ennemis de la liberté et vice versa

Voir aussi article sur l’idéologie pacifiste – see also article on the pacifist ideology (in English)

[FR + bas] It is obvious how power naturally attracts the sexually repressed for the power can be used to lie to yourself more convincingly by getting access to that flesh through the sole material levers you have and not love.

I wish to direct my readers to Socialism by Ludwig von Mises for a more general discussion about socialism (in its general definition covering national-socialism and all forms of state intervention in the economy) and its failures. Mises makes that very significant point which the metoo movement has well propagated which is that socialism is highly favorable to sexual aggression and rape, because those with an arbitrary power i.e. the bureaucrats, administrators, and more importantly heads of government, in a socialist regime (where, in addition, resources are scarce and thus the need to go doorknocking to ask for social support or other privileges more present) are likely to use that to extort sexual acts from the young women or men they seek to rape – and they of course benefit from impunity, that’s Mises’ point (and it’s obvious that all forms of power today give that impunity, even in systems which appear very far from the typical forms of socialism, e.g. today’s crony capitalism). The metoo movement and many other scandals have shown once again how rape and sexual aggressions in general are extremely frequent in the palaces of political power. Competition is the only way to fight that and it must be absolute.

The market behaves as one individual’s subconsciousness – when you do not listen to it it always manages to control you in some way. It keeps always inadvertent “reminders” visible even when the person is fighting against his/her true self very strongly. « Reminders » that disappear when the person accepts his/her true self as normal…

There are a lot of people taking care not to get involved in any way into politics. They never express any opinion or, better, defend freedom, even without too much ambition, just casually.

But whoever feels the behaviour of the alter ego has to be controlled (through any form of state intervention) can legitimately be expected to be talking about him/herself i.e. to be willing to ask that somebody external be limiting their own freedom (i.e. to have an external insurance against their inner self they are afraid to see free). You cannot dissociate the two. This is a simple psychological analysis which can be checked this way : all majors founders of the socialist ideology were homophobic. Why ? Homophobia is the simplest of the « reminders » for repressed homosexuality and will ever be. Marx formed a true couple with Engels, which in its conversations of course despised homosexuality (1869 letter). Rousseau was highly homophobic, Sismondi (lesser known but significant founder, the only person quoted in the Manifesto together with David Ricardo) too (and well known for his repressed manners, and lack of success with women), the Soviet Union was from the beginning to the end hunting homosexuals, Allende (who showed unwillingness to extradite a German Nazi, Walter Rauff, in the early 1970s according to Victor Farias’s “The Nazis in Chile” – 2002) believed in “a cure for homosexuality” in his younger years and was also an eugenist and an antisemite – cf also Victor Farias.

When you are hurting yourself by repressing your inner self, you cannot help but also be willing to hurt the others – since there is a natural reaction which is you do not want to suffer more than the others, and the obvious compulsion is to make them suffer instead of alleviating that pain you are hiding deep by acknowledging your own self plainly.

So the compulsion will stay and grow – the more you gain power the more you demonstrate to yourself “the lie works” so you suffer more (because the real you regrets that) and so instead of “solving the equation” (recognizing the pain, stop the tragedy, acknowledge your sexuality) you increase the pain inflicted on others – which may actually get your system to work, in appearance, even more, enough to believe it is a success, reinforcing the cycle.

All defenders of state intervention try to protect themselves i.e. use market repression as a way to prove to themselves that repressing themselves work. Market is understood as the symbol they need to combat because the market, through its spontaneity, represents the spontaneity of human sexuality, and interfering with it materializes that dream of physically stopping these thoughts coming to remind them one way or another of their true self. So by unleashing themselves on the market they try to fight a perfect scapegoat for their own subconsciousness – a form of mystical fight against themselves in which the individual needs to convince themselves as he/she convinces the others – so he/she will select surrounding individuals that propagate the lie, etc.

Jews are seen as a “feminine” group (because of their usually strong integration in the social fabric) and assimilated to homosexuals. Antisemitism is simply a mutant form of homophobia. Etc.

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Il est évident à quel point le pouvoir attire naturellement les personnes refoulant leur vraie sexualité, dans la mesure où le pouvoir peut être utilisé pour se mentir à soi même de façon plus convaincante en accédant à la chair par les seuls leviers matériels et pas via l’amour romantique.

Je me permets de pointer à mes lecteurs l’oeuvre majeure de Ludwig von Mises Socialism, pour une discussion plus générale sur le socialisme (dans sa définition générale couvrant le national-socialisme et toutes les formes d’intervention de l’État dans l’économie) et ses échecs. Mises soulève ce point central que le mouvement metoo a largement fait résonner au-delà des habituels réseaux sociaux, qui est que le socialisme est très favorable à l’agression sexuelle et au viol, car ceux qui ont un pouvoir arbitraire i.e. les bureaucrates, administrateurs, et surtout les chefs de gouvernement, dans un régime socialiste (où les ressources sont, en plus, rares et la nécessité de gratter à des portes pour quémander des aides sociales ou autres privilèges beaucoup plus importante) sont susceptibles d’utiliser cela pour exiger des rapports sexuels des jeunes femmes ou jeunes hommes ils cherchent à violer – et bénéficient bien sûr de l’impunité, c’est l’argument de Mises (et il est évident que toutes les formes de pouvoir aujourd’hui donnent cette impunité, même dans des systèmes qui semblent très éloignés des formes typiques de socialisme, ainsi du capitalisme de connivence (corporatisme, très mal nommé néolibéralisme, le système actuel). Le mouvement metoo et bien d’autres sandales ont démontré une nouvelle fois comment le viol et les agressions sexuelles en général sont extrêmement fréquentes dans les palais du pouvoir politique. La compétition est le seul moyen de combattre cela et elle doit être absolue.

Le marché se comporte comme le subconscient de l’individu – quand on ne l’écoute pas, il réussit toujours à nous contrôler d’une façon ou d’une autre. Le subconscient rend toujours visibles des « rappels » dans le comportement de l’individu, dans son vocabulaire et ses tics de langage par exemple, même quand la personne combat très violemment sa vraie personnalité. « Rappels » qui disparaissent naturellement une fois la vraie personnalité acceptée et vécue comme normale…

Il y a beaucoup de gens qui prennent soint de ne jamais s’impliquer en quelque façon que ce soit en politique. Ils n’expriment aucune opinion, ou, mieux, défendent juste la liberté, sans même trop d’audaces, juste de façon triviale.

Mais quiconque ressent le besoin de contrôler le comportement d’autrui (via quelque forme d’intervention de l’État que ce soit) exprime par un moyen détourné une envie qu’on le contrôle lui-même, qu’on limite sa propre liberté (i.e. d’avoir une garantie externe que sa vraie nature, qui lui fait si peur, ne s’exprime pas). Il est impossible de dissocier les deux. C’est une analyse psychologique simple qui peut se confirmer d’une autre façon : tous les fondateurs majeurs du socialisme en tant qu’idéologie étaient homophobes. Pourquoi ? L’homophobie est le plus simple des « rappels » pour l’homosexualité refoulée et il en sera toujours ainsi. Marx formait un vrai couple avec Engels, qui dans ses conversations, bien sûr, condamnait l’homosexualité (lettre de 1869). Rousseau était fortement homophobe, Sismondi (un fondateur moins connu mais significatif, le seul auteur cité dans le Manifeste avec David Ricardo) aussi (et il était largement connu pour ses manières d’homosexuel refoulé et ses déboires avec les femmes), l’Union Soviétique a été du début à la fin un régime dont le code pénal faisait la chasse aux homosexuels, Allende (qui a montré au début des années 1970 son manque de volonté pour extrader un nazi allemand, Walter Rauff, selon Victor Farias dans “The Nazis in Chile”, livre de 2002) croyait, dans ses jeunes années, à une “solution médicale” pour l’homosexualité et était eugéniste – cf aussi Victor Farias.

Quand on se blesse soi-même en réprimant son soi intérieur, on ne peut pas s’empêcher de vouloir aussi blesser les autres – car il y a une réaction naturelle consistant à ne pas vouloir souffrir plus que les autres, et la compulsion évidente est de vouloir les faire souffrir aussi, au lieu d’alléger sa propre douleur en se reconnaissant tel quel.

Donc la compulsion va rester et grandir – le plus on arrive à obtenir du pouvoir, le plus on se démontre à soi-même que « le mensonge fonctionne » donc on souffre plus (parce que le moi réel le regrette profondément) et donc, au lieu de « résoudre l’équation » (reconnaître la douleur, arrêter la tragédie, reconnaître sa sexualité) on augmente la douleur qu’on inflige aux autres – ce qui peut d’ailleurs faire fonctionner le système, en apparence, assez pour croire que c’est un succès, et renforcer le cycle.

Tous les défenseurs de l’intervention d’État essayent de se protéger eux-même i.e. d’utiliser la répression du marché comme un moyen de se prouver à eux-même que réprimer leur sexualité fonctionne. Le marché est vu comme le symbole qu’ils doivent combattre car le marché, par sa spontanéité, représente la spontanéité de la sexualité humaine, et interférer avec le marché matérialise ce rêve d’interférer physiquement avec ces pensées leur rappelant d’une façon ou d’une autre leur vrai moi. Donc, en se défoulant contre le marché, ils tentent de combattre un bouc émissaire parfait pour leur propre subconscient – une forme de combat mystique contre eux-même dans lequel il est aussi essentiel pour l’individu de se convaincre lui-même que de convaincre les autres… donc préfère des amis qui entretiennent le mensonge, etc.

Les Juifs sont vus comme un groupe “féminin” (en raison de leur forte intégration dans le tissu social) et assimilés à des homosexuels. L’antisémitisme est une forme mutante d’homophobie. Etc.