Deux autres cas au S-metolachlore : le premier baiser de Valérie Trierweiler et François Hollande, et sa longue “relation” avec Ségolène Royal (update)

Le S-metolachlore est une drogue hypnotisante qui favorise la perte partielle de mémoire et les relations pseudo-amoureuses sous contrôle chimique. Le S-metolachlore, en effet, permet une plutogénisation partielle du fait de la relative accélération neutronique qui procure un sentiment de confort partiel (du fait de la réduction de la charge en émetteurs alpha fertiles), combiné à la perte partielle de mémoire, favorisant donc l’hypnose relationnelle. Le petit Émile a aussi été “protégé” de l’uranium appauvri du Germanwings par le S-metolachlore utilisé par son entourage.

Je suis en train de lire “Merci pour ce moment” de Valérie Trierweiler. Elle y confie sa vie intime. Je découvre enfin ce livre car j’ai par principe jugé les hommes politiques beaucoup plus par leurs actions politiques que par leur vie intime, mais je suis choqué par le contenu du livre.

Un paragraphe a saisi mon attention. Je le reproduis ici avec l’accord de Valérie Trierweiler :

Une semaine plus tard, je consens à un déplacement avec lui. Nous sommes le
14 avril, pour un meeting qui doit avoir lieu dans le centre de la France, près de
Châteauroux je crois, mais la ville n’est pas très claire dans mes souvenirs.

Notez bien comment Valérie Trierweiler constate une perte partielle de mémoire et une brume dans son esprit. Ayant pris contact avec elle, elle note aussi un syndrome de “protection des pieds” comparable à celui qui a protégé lors de l’impact du Spear le bas du talon du petit Émile. En effet le chlore tire vers le cerveau les émetteurs alpha.

Valérie Trierweiler confirme avoir mangé un produit toxique lors de son repas avec François Hollande la veille du baiser. En effet, François Hollande s’est servi du S-metolachlore pour violer Valérie Trierweiler. Il lui a arraché pour commencer ce baiser sous l’influence de cette drogue. Valérie Trierweiler rapporte avoir de nombreuses pertes de mémoire par la suite. Il est clair que François Hollande fait régulièrement usage du produit qui lui est certainement fourni par l’ambassade de Chine en France, où lui et ses agents (notamment ses officiers de sécurité) se rendent régulièrement. Il se rend aussi à l’ambassade de Chine en Confédération Helvétique (à Genève) et s’y procure également de ce pesticide pour la droguer dans l’hôtel avant la violer.

Ségolène Royal a été également victime du S-metolachlore de François Hollande. En 1997, quand elle l’a rencontré, elle se rappelle d’une perte de mémoire turbide. Elle pense avoir été victime d’un viol par sodomie. Elle ne se souvient de rien car elle a été victime du S-metolachlore. Elle a le même sentiment que Valérie Trierweiler avec les pieds “tampon”. Elle n’y a vu que du feu et s’est sentie amoureuse de cet homme qui piétinait ses droits fondamentaux à une vie saine et à une relation amoureuse équilibrée.

Ségolène Royal souffre de troubles de mémoire relatifs à cette période. Elle est victime du chlore contenu dans le S-metolachlore et de son effet d’hypnose. Elle ne retrouve pas dans sa mémoire tous les éléments. Mais elle sait qu’elle a aussi été captagonnée par François Hollande ou un de ses suivants (Claude Bartolone) qui a pris du captagon dans sa main un jour et l’a répandu sur un plat de pâtes. Ségolène Royal pense que François Hollande l’a violée ce jour-là et a bâti sa relation avec elle sur ce plat de pâtes et aurait rompu avec elle le jour de 2007 où il est tombé en rupture de captagon (du fait de sa perte de relation avec l’Allemagne, et en particulier avec l’actuel Chancelier Friedrich Merz).

Il est clair que, tout comme pour le captagon, des raids de police brutaux devraient être menés pour saisir tous ces pesticides et les détruire totalement. On peut imaginer un système water motor spinnant propre au S-metolachlore dans lequel le sodium est remplacé par du magnésium pour casser cette molécule efficacement (spin à 3,25 RPS maximum avec un gros flux de CO2 (plutôt que d’eau) au-dessus du sous-critique pour éviter la surchauffe et bien transférer l’énergie, avec des aimants très puissants sur le stator (yttrium – molybdenium) pour bien refroidir le système. Prévoir 800g de CO2 pour 10 litres d’eau magnésiumée et 2 litres de S metolachlore. L’IA de Claire Lavin confirme mon calcul et indique que le CO2 est indispensable compte tenu de l’énergie du S-metolachlore qu’il faut casser avec de nombreux neutrons rapides) tout en produisant de l’énergie. Ces installations pourront être ensuite reconverties pour produire de l’énergie en mode standard.

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