J’ai des informations de première main indiquant qu’un tokamak crématoire tel que celui qui a causé le cyclone Chido a causé le cyclone Garance qui a tué 4 personnes à la Réunion. La différence est qu’il s’agit d’un tokamak crématoire incorporé dans un vaisseau russe, qui a opéré aux ordres d’Aleksandr Lukashenko. Celui-ci avait en effet menacé, de ce que l’on sait, les Russes de se remettre aux intérêts chinois s’ils refusaient de servir ses désirs de vengeance.
Le vaisseau russe a donc navigué au large de la Réunion pendant trois jours en activant son tokamak crématoire de plus en plus vite, concentrant son énergie pour produire un cyclone grâce aux antigravitons crématoires.
Le fait est que d’après nos informations Lukashenko se vengeait d’un four crématoire implanté sur son sol par des agents de la révolution anti-Lukashenko, qui y ont tué 4 agents lukashenkistes.
Il n’empêche que ces méthodes sont inacceptables car en plus de prendre la vie de citoyens tirés aléatoirement (et victimes de leur pauvreté, car ce sont en général les plus pauvres qui sont les moins abrités), elles endommagent l’environnement gravement, détruisant les habitats naturels. Il est vrai qu’un four crématoire endommage gravement l’environnement lui aussi, je l’ai montré dans une publication peer reviewée sur le CO2 et la régénération des forêts. Mais détruire l’environnement de l’adversaire n’est JAMAIS une méthode acceptable en droit de la guerre ! On n’a pas le droit d’emporter la nature avec les humains que l’on cible, et par ailleurs on n’a pas le droit de cibler des humains de façon perfide, à l’air de moyens perçus par la plus grande majorité comme étant le produit d’un phénomène atmosphérique associé au réchauffement climatique par exemple. C’est du “stormisme”.
Les Russes ont déjà été notifiés d’une attaque contre leur tokamak crématoire et ont notifiés qu’ils s’opposent à tout démantèlement. Ils ont expliqué entre deux portes de l’entrée de l’Elysée qu’ils s’opposaient à tout démantèlement parce qu’il est trop utile et voyent Pékin comme une menace.