J’ai expliqué en quoi la production des batteries de voitures électriques est un processus crématoire qui implique une sélection de victimes africaines pour fabriquer ces accumulateurs d’électrons. Lorsque j’ai publié mon modèle de moteur au plutonium, Elon Musk a sorti la Tesla S-Plaid en quelques jours, voiture estimée selon les coûts que j’envisageais, capable de se déplacer à des vitesses fulgurantes… parce que ses entreprises sont dans le nucléaire il a pu sortir sa version en quelques jours. Un peu “cheap” par rapport à mon modèle et sans doute peu expliqué au client d’où accidents… bref.
Il existe dans le Pays bigouden dans un secteur protégé par le Conservatoire du littoral un projet de mine de lithium. Ce projet doit voir le jour, d’une façon surréaliste, dans le secteur anciennement occupé par l’organisation Todt de l’Allemagne nazie qui y concassait des cailloux pour fabriquer ses murs et bunkers en se servant de prisonniers de guerre au travail forcé.

Le projet mené par l’entreprise Bolloré connue pour sa présence en Afrique occuperait un terrain de 1,3 kilomètres de circonférence, il faut en effet creuser à 130 ou 140 mètres de fond pour rencontrer le gros du lithium. Qui se trouve être le résultat de la fusion de produits de fission ternaires du magmatisme, comme l’est par exemple le pétrole ou dans les Alpes les eaux de source.
Bolloré a-t-elle des activités eugénistes en Afrique ? Je l’ignore mais mon sentiment est que oui. Je ne pense pas que l’activité menée dans un cadre néocolonial puisse se passer du sentiment de contribuer à l’éducation et à la construction du continent africain.
La mine détruirait aussi une chappelle, de Saint Vio :


On voit dans le fond sur la première image le promontoire du Conservatoire du littoral et sur la deuxième dans le coin gauche la pierre phallique associée aux superstitions anciennes, sorte d’ombilic.

De telles mines causent un problème de santé publique majeure. Les sols sont riches en uranium et en thorium du fait du granitisme (et je pense d’ailleurs qu’ils sont en réalité aussi exploités… pour le gazage en Afrique) et les camions transportant ces matériaux ont typiquement des pertes latérales causées par les secousses lors du transport, qui retombent sur les maisons alentours. Ce problème existait déjà pour les mines d’uranium et est l’une des raisons pour laquelle on ne mine plus d’uranium en France depuis 1980.

La mine utiliserait sans doute aussi les ressources d’eau avoisinnantes pour laver les sols minés ; une forte pollution des eaux lacustres est nécessairement envisageable.

Un port est aussi programmé sur la côte pour faciliter les exports de lithium. Cela contribuerait à défigurer définitivement le site.

En bref ce programme relatif aux voitures électriques et à l’eugénisme en Afrique menace un écosystème et une biodiversité protégées au nom de véhicules qui n’apportent aucune contribution réelle au climat puisque la photosynthèse est endothermique c’est-à-dire qu’elle absorbe la chaleur lorsqu’elle consomme du CO2 pour nous restituer de l’O2. Ce pourquoi par exemple le pic de Mars de températures correspond aux zones où les résidences de tourisme offrent le plus souvent la recharge électrique aux touristes (Bourgogne Franche Comté, Grand Est, et Corse en seconde position). Plus de circulation avec des VEs, c’est moins d’émissions de CO2 et donc moins d’absorption de chaleur par la photosynthèse… en particulier il y a un comportement de freerider sur les bornes offertes aux touristes qui incite à une surconsommation, réduisant d’autant la demande future en hydrocarbures. Mais il faudrait aussi interroger les rayonnements des moteurs crématoires qui sont diffractés par la présence d’atomes shurikens comme U238 dans ces moteurs et donc changent de longueur d’onde, les rendant peu visibles ou invisibles au Geiger, mais représentant néanmoins une diffusion d’énergie dans l’environnement. (Sans parler de ce qui se passe après avec les cendres)



Cf aussi le petit retournement du marché des VEs et l’amélioration de la banquise en Arctique.